Le chômage ne permet pas aujourd'hui aux français des classes les moins favorisées d'investir dans les énergies propres. Cela devrait changer avec la fabrication en masse d'usines produisant des unités de production propres.
Les énergies propres ayant un coût d'installation très élevé, il faut que les français aient les moyens d'investir dans ces énergies, les panneaux solaires par exemple.
Nous remarquons également que les français appartenant aux classes moyennes s'intéressent plus à l'écologie, à l'environnement, que les personnes ayant des revenus très élevés. En effet, ces personnes se soucient en général moins de l'environnement.
De plus, à l'approche des élections présidentielles, en mai 2007, en France, l'écologie est au centre des débats, notamment grâce à Nicolas Hulot (animateur d'Ushuaïa Nature) et son « Pacte écologique ».
Le développement des énergies propres doit être une volonté politique pour pouvoir se développer et faire face à la politique du « tout nucléaire ».
Il faut, tout d'abord que la population s'intéresse à l'écologie afin de faire pression sur le gouvernement pour que des réformes viables sur le long et très long terme soient engagées.
Enfin, il faut faire évoluer les mentalités. En effet, de nombreuses personnes craignent que les installations propres telles que les tours solaires ou les éoliennes dégradent les paysages. Les écologistes craignent également des répercussions sur la faune et la flore (disparition d'espèces, mort d'oiseaux dans les pales des éoliennes, ...).
A l'heure actuelle, il serait nécessaire de concilier développement durable et préservation du paysage, mais le contexte social actuel ne le permet pas. L'idéal serait que les écologistes voient les éoliennes comme une solution écologique pour l'avenir.
Copyriht (c) A. Nierenberger ; T. Specht ; G. Weyer Janvier 2007.
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